Dans la partie 1, nous avons vu que pour remplir les registres à décalage, il y avait 6 broches de données (R1, G1, B1 et R2, G2, B2) synchronisée par une broche d’horloge… un peu comme un port SPI avec 6 MOSI. D’où l’idée d’utiliser le port SPI hardware de l’Arduino pour envoyer les données. Oui mais… il n’y a qu’un seul MOSI. Mais dans la matrice c’est un registre à décalage… et on peut mettre plusieurs matrices de LED en série pour les chaîner. Et si on chaînait une matrice avec elle même ? Ça pourrait faire une seule broche de donnée + l’horloge… donc MOSI et SCK.
Bon, c’est pas très net cette histoire. Avec un schéma ça sera plus simple.
À gauche, le schéma simplifié de la partie 1. On envoie en 64 fois en série (pour les 64 LED de large) R1, G1, B1 et R2, G2, B2 en parallèle.
À droite, le schéma de cette partie. On a chaîné les registres à décalage entre eux. On envoie cette fois 384 données en série sur le premier registre, quand il sera plein il commencera à pousser au suivant et ainsi de suite jusqu’à remplir le dernier registre bleu. Vu que tout est décalé à chaque coup d’horloge, on transmet le dernier pixel bleu B2 en premier pour finir par le premier rouge R1.
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